mardi 22 décembre 2015

Coupe de Noël 2015: mon voyage dans la cinquième dimension


En triathlon, on se déplace dans un espace à 3 dimensions, en se battant contre le temps, la quatrième dimension. En participant à la Coupe de Noël, j'ai découvert et appris à maitriser une cinquième dimension. Ce fût plus complexe et plus intéressant que je ne l'avais imaginé initialement...

lundi 19 octobre 2015

Comment gérer la période située entre la fin de la saison de triathlon et la reprise de l'entraînement sérieux

Après une longue et dure saison de triathlon, le corps et souvent aussi le mental ont besoin d'une coupure. Pour beaucoup, c'est la période la moins importante de la préparation d'une saison, pourtant, si on la planifie bien, elle peut apporter beaucoup pour la suite de la préparation et même déterminer la réussite de la saison suivante. Comment gérer au mieux cette période?

mercredi 26 août 2015

Ironman de Copenhague 2015: le récit de mon aventure danoise

Ma saison 2015 a été énormément perturbée par une blessure chronique au pied gauche (bursite au talon et tendinite de l'aponévrose plantaire): 5 mois sans courir, forfait au semi de Paris, forfait à l'ironman du Texas, abandon à l'ironman de Zurich. Le 23 août 2015, je prenais le départ de l'ironman de Copenhague avec l'espoir de voir la chance tourner en ma faveur. Voici le détail de mes aventures danoises:

lundi 24 août 2015

Déjà 28 saisons de triathlon et toujours la même passion. Pourquoi?

En 1988, je participais à mon premier triathlon, un distance olympique, à Morat, en Suisse. Depuis, je n'ai jamais arrêté de pratiquer le triathlon. J'en suis à plus de 200 triathlons, aux quatre coins du monde et je n'ai pas encore planifié ma retraite sportive...
Qu'est-ce qui me motive autant à continuer ce sport exigent?

Le goût de la victoire?
Certes mes victoires font partie des plus beaux souvenirs de ma vie, mais ces moments sont rares et ce n'est donc pas la seule raison.

Avoir un corps d'athlète à plus de 40 ans?
Certes cela fait plaisir d'avoir un corps musclé et bien dessiné, mais je pourrais obtenir un résultat équivalent avec 4-5 heures de gym par semaine (environs 3 fois moins que ce que je fais actuellement en triathlon). Ce n'est donc pas la principale raison.

Etre en meilleure santé que la moyenne de la population?
Certes ce n'est pas négligeable d'être en super forme et de résister plus facilement aux maladies qu'une personne normale, mais en échange, il y a les chutes et blessures de fatigue qui font que ce n'est pas non-plus la raison numéro un.

Une de mes principales sources de motivation à continuer ce sport, c'est...